Vendredi 5 août 5 05 /08 /Août 13:26

Ils varient selon leurs formes circulaires ressemblant alors a une raquette de ping pong ou rectangulaire

 

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Confié a un expert il peut faire des ravages certains; a utiliser avec modération et consentement 

 

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Par maitre-des-regles
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Vendredi 5 août 5 05 /08 /Août 13:24

Ce qui distingue une relation BDSM saine de la brutalité ordinaire et de l'esclavage, au sens littéral du terme, c'est la notion de choix qui s'exprime au travers de la possibilité de refus, de rejet et de fuite qui doit, obligatoirement, laisser la personne soumise devant le libre arbitre de donner le pouvoir des actes et des faits a la personne dominante, ou de refuser l'acte proposé . Ce choix doit rester constamment à la portée de la personne soumise. En effet, il serait erroné de penser que l'imposition ou la force expriment une réelle notion de puissance sur l'autre. C'est dans le libre choix qui est laissé de subir, d'obéir et de donner que résident les bases de l'abandon.

En laissant, à la personne soumise, l'ouverture a des options autres que celles demandées, ont fait radicalement avancer la notion d'acceptation. Si la personne dominante ne laisse aucune option que sa directive et sa volonté tyrannique, elle ne laisse également aucune opportunité à la personne soumise de développer son envie de donner. La personne soumise qui agit par obligation et par la force, ne peut que rejeter la faute de l'échec ou de l'erreur éventuelle sur la personne demandeuse. Alors que si elle agit par choix, elle peut apprendre, comprendre et prendre en main les décisions qui la même à ces actes. Bien sur cette notion est encore plus visible et valide, lors de phases de dépassement de limite. L'imposition sera toujours mal vécue. L'échec d'un choix (peu en importe les raisons, cela n'a que peu d'importance...) laisse la place à la remise en question, la réflexion, la mise en place d'une autre approche, bref... la communication et à la compréhension au sein de l'entité BDSM, qui le lien sincère de la relation.

 

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L'imposition de la volonté de la personne dominante serait, pour la personne soumise, une trop bonne excuse pour se "délester" des responsabilités de ses choix de vie et donc de nier son épanouissement et son développement. La motivation par l'obligation n'existe pas. La force mène à la dénonciation du diktat de l'autre et non a son acceptation. On ne peut espérer trouver l'harmonie dans la relation, si la personne soumise a, à chaque instant ou à chaque demande, la volonté de choisir une option alternative si celle demandée qui ne lui convient pas.

Il semble bien impossible et difficile d'avancer en regardant constamment derrière soi...

Par maitre-des-regles
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Vendredi 5 août 5 05 /08 /Août 13:20

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Ce texte, trouvé sur plusieurs sites sur le web, dont il est impossible de trouver la provenance originelle traite de l'évolution des étapes du désir BDSM. S'il n'apporte pas grand chose au débat, il est toujours intéressant de le connaitre...

THÉORIE DES ÉTAPES 


Cette théorie des étapes repose sur plusieurs études scientifiques effectuées sur le BDSM ou le sadomasochisme, sur des interviews de personnes impliquées dans le BDSM ainsi des témoignages et discussions de groupes de discussion Internet pour Hommes dominants. Avant tout, il faut souligner l’importance de cette contribution, parfois très personnelle. Merci de votre ouverture d’esprit et d’accepter de partager avec nous vos sentiments et pensées.

Les différentes étapes sont les suivantes :

   1. Le stade initial ou la découverte de l’attirance et des pensées
   2. Le stade de la crainte
   3. «La première marche», celle de l’expérimentation et de la recherche d’information
   4. La recherche du contact
   5. Le stade de la réconciliation, l’acceptation définitive et la compréhension des fantasmes
   6. La recherche du partenaire (au sein ou en dehors d’une relation existante)
   7. Le stade de la révélation, quand l’un évolue, apprend, expérimente, évolue encore, etc. 

Étape 1 : Le stade initial ou la découverte de l’attirance et des pensées

Les émotions et les sensations liées à l’échange de pouvoir érotique sont souvent découvertes très tôt (souvent au stade pré-pubère), mais elles peuvent également émerger plus tard. Souvent, les gens découvrent ces sensations en eux après avoir traversé une période difficile dans leur vie, comme un divorce. Cela est probablement dû au fait que ce type d’événements induisent un regard sur soi-même et sur son environnement. Il est aussi possible que cela soit influencé par le développement général de l’individu et plus particulièrement de sa sexualité. Cette étape est très souvent marquée par une certaine incertitude.

Étape 2 : Le stade de la crainte

L’incertitude et les facteurs sociaux vont habituellement entraîner une peur par rapport à ces sentiments et émotions ce qui peut produire des périodes plus ou moins longues de rejet ce celles-ci. À nouveau, l’enseignement, l’éducation et la religion ont une influence, combinés avec les tabous sociaux, le manque général d’information sur le sujet, une législation restrictive, les préjugés ou stéréotypes et un manque de profondeur dans l’éducation sexuelle. À ce stade, tant les dominant que les soumis vont avoir l’impression qu’ils sont les seuls à avoir ces idées et ils n’en parleront en aucun cas autour d’eux. Certains se mettront en recherche active d’information, d’autres se cacheront et cultiveront secrètement leurs pensées.

Pour la personne impliquée, ces pensées ne sont pas identifiées comme «mauvaises», mais comme quelque chose de positif et de spécial qui leur est propre. Bien sur, il y a un conflit direct avec les standards sociaux, les aspects légaux et le comportement «politiquement correct». Dans la société moderne, une femme n’est pas supposée être soumise ou faible et celles qui nourrissent des fantasmes de viol, enlèvement, etc... seront souvent perçues par les autres femmes comme un danger. En fait, on peut se demander si cela serait réellement perçu comme tel, mais c’est ainsi que la personne à l’impression qu’elle est vue. D’un autre coté, un homme aura également des craintes d’être considéré comme un monstre ou un sadique.

Étape 3 : La première marche», celle de l’expérimentation et de la recherche d’information

Même s’ils gardent leurs fantasmes et rêves pour eux, les individus vont alors commencer à expérimenter, souvent sur eux même, en alternant parfois les rôles de dominant et soumis. C’est aussi à ce stade que commence la quête d’information. Le plus souvent, cette information est très fortement liée à leurs fantasmes (par exemple: recherche de livres, récits ou iconographies).

C’est généralement à ce moment que la personne se rend compte que d’autres lui sont semblables. S’il n’est pas encore question de les contacter, la pensée générale est qu’ils doivent être plus nombreux «sinon ils n’écriraient pas ces livres, ces magazines et récits ou ne produiraient ces images, dessins ou vidéos». La découverte d’autres personnes partageant les mêmes pensées est une sorte d’encouragement, mais parfois aussi une source d’appréhension. C’est pour cette raison qu’il faudra un certain temps avant que qui que ce soit prenne l’initiative de rechercher des interlocuteurs et/ou un partenaire.

Étape 4 : La recherche du contact

Logiquement, le stade 3 introduit le 4, où l’un commence activement à rechercher le contact avec d’autres personnes partageant ses pensées ou envies. Si cela se produit au sein d’une relation existante, le plus grand problème pour la personne impliquée est qu’il y a un risque important à prendre car cela peut entraîner une rupture. Il est reconnu que ce risque peut être la cause d’un arrêt du développement et d’un retour vers le maintien secret des pensées.

À ce niveau, certaines personnes peuvent rencontrer un problème de gestion des priorités au sein de leur vie. Trois problèmes de priorités peuvent se présenter:

    * La personne impliquée va donner une priorité absolue à ses désirs, les plaçant en tête de tous les aspects de la relation et en les idéalisant à outrance au même moment;
    * La personne va longtemps balancer entre différentes situations dans sa vie de tous les jours, voulant être un jour une personne et le lendemain une autre complètement différente. Les femmes soumises rencontrent fréquemment ce type de problème envers leurs différents rôles de mère, activité professionnelle et soumise.
    * Un autre problème, spécifique aux femmes soumises est la priorité donnée aux idéaux. D’un côté elles veulent être sûres d’elles et fortes et d’un autre il y leurs émotions de soumises qui rentrent en conflit direct avec les premières. 

Ces problèmes de priorités peuvent parfois entraîner désillusions et déceptions, comme par exemple l’impossibilité de trouver un partenaire ou la pratique sans limites en cohabitation avec un partenaire existant ou une épouse. Les femmes soumises sont, à ce stade, très vulnérable par rapport à une relation abusive, et cela à cause d’un risque de magnification de leurs tendances à la soumission.

Étape 5 : Le stade de la réconciliation, l’acceptation définitive et la compréhension des fantasmes


À ce stade, une grande quantité d’information a déjà été rassemblée, quelques expériences ont été menées à bien et dans certains cas un partenaire ou d’autres interlocuteurs ont été trouvés. La personne impliquée va maintenant comprendre ce qui se passe dans son esprit. Un point important est que c’est seulement maintenant (et le trajet parcouru au cours des précédentes étapes peut avoir pris plusieurs années) que la reconnaissance par la communauté BDSM va se produire, si l’individu le désire. Il ou elle sera immédiatement identifié comme «novice», alors qu’en fait il ou elle dispose déjà d’une certaine expérience en matière d’émotions d’échange de pouvoir érotique, mais simplement d’un manque d’expériences «publiques».

La désillusion de l’étape 4 fera alors partie de l’apprentissage. La majorité des personnes impliquées dans le BDSM sont passées par plus d’une relation et expérience avant de trouver le bon environnement et/ou le bon partenaire.

Étape 6 : La recherche du partenaire (au sein ou en dehors d’une relation existante

Il y a peut être bien un partenaire disponible à ce moment, mais il est temps pour celui-ci d’évoluer vers le même niveau d’information et de compréhension et pour les deux personnes d’identifier leurs points communs. Pour les célibataires, il est maintenant temps de panser leurs blessures issues des étapes précédentes et de recommencer leur quête, bien mieux équipés cette fois.

Étape 7 : Le stade de la révélation, quand l’un évolue, apprend, expérimente et évolue.

C’est la boucle sans fin, dans laquelle la relation va réellement commencer à s’épanouir par l’expérimentation et l’apprentissage ensemble. C’est le commencement d’une véritable relation dans l’échange de pouvoir érotique.

 

 

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Par maitre-des-regles
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Vendredi 5 août 5 05 /08 /Août 13:16

La notion BDSM de "maîtrise" et le mot "maître" (ou maîtresse bien sur) a toujours fait couler beaucoup d'encres ... Que recouvre t elle vraiment ? Chacun y va de son explication qui va du ... narcissisme de la demande d'être nommée ainsi ... à l'auto proclamation que certains en font ... à l'existence de ce titre uniquement dans une relation double et construite ... jusqu'à la tyrannie que ce mot semble vouloir, parfois, imposer aux personnes soumises... et à bien d'autres sujets..

 

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Le sujet n'est pas de savoir qui a tord ou raison, puisque personne n'a tord ou raison, si la relation est épanouie le terme employé pour nommer la personne dominante n'a, a vrai dire, aucune importance. Le conventionnel est donc tout aussi acceptable que le farfelu en la matière. C'est dans l'implication que la maitrise imposée que réside la vrai question. Nous avons déjà évoqué la nécessité de la veille sécuritaire et de la communication dans la relation avec son élèves. Nous irons donc sur une autre orientation qui semble aussi peu existante et aussi peu comprise qu'elle semble élémentaire. Le "maître" (nommons le ainsi) s'il éduque et permet la progression de la personne qui l'a choisi pour la guider, ne se doit il pas aussi de former, éduquer et développer les capacités des "apprentis dominateurs" qui en feraient la demande. Le Maître n'a t il pas une vocation de transmission de son savoir à des fins pédagogiques. Le Senseï ne forme t il pas des adeptes qui deviennent Senseï à leur tour ? ... N'y aurait il pas dans cette démarche une réponse à l'augmentation des compétences et à la compréhension des réflexions des adeptes débutants. N'y a t il pas là une potentialité importante de diminution des risques de dérives et la démonstration d'une volonté de compréhension des mécanismes qui régissent nos relations ? Chacun pouvant permettre a l'autre de progresser dans un domaine qui  lui est particulièrement familier ou connu. Une sorte de partenariat "gagnant-gagnant" dans la diffusion d'un savoir parfois long et dur a acquérir.

I have a Dream .... mais vous l'aurez compris ... cela n'est pas prêt d'être de cas dans la "mouvance" BDSM ou il n'est pas de bon ton d'avouer son incompétence ou sa nocivité, et encore moins de demander...que dis je "quémander"... une aide bien utile mais dont l'on peut, cela est certain, se priver sans rancune et sans risques pour son élève. Il n'est pas encore dans les mœurs que l'on demande un partage de connaissance sans que l'on lorgne en retour...sur un "accessit"de l'élève du demandeur ou de celle du formateur... bref il n'est pas de mise dans le BDSM que les Maîtres soient des ... Maîtres. Un école de pensée est a crée, certains l'ont compris (notamment dans le domaine du SHIBARI) mais, il est malheureux que cette notion ne soit que marginale dans le décorum et les pratiques BDSM , la face de ce "monde" en eut été ... bouleversée 

Par maitre-des-regles
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Vendredi 5 août 5 05 /08 /Août 13:09

soumise-00.jpg En BDSM, les règles, les astreintes et obligations sont pour les personnes dominantes des moyens d'évaluer l'abnégation des personnes soumises en éprouvant leurs motivations et leurs dévotions selon leurs niveaux d'avancement dans leur don. Le respect de ces attentes et demandes est associé à l'obéissance et a contrario le non respect à la punition (bien méritée cela va de soi). Il ne faut néanmoins pas confondre, ni répondre, de la même manière selon le niveaux des déviations constatées. Cela tout l'art de la personne dominante d'être magnanime, en restant crédible aux yeux de la personne soumise. Ainsi, tous les écarts ne doivent pas entraînés une punition imbécile et basique. Il ne faut pas confondre l'Erreur et la Faute. 

 

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Si la faute est un manquement à une règle établie, comprise et déjà appliquée, l'erreur est une inadéquation temporaire de l'attente par rapport à la demande. Que le premier Maître qui n'a jamais commis d'erreur me jette la première pierre.... si "Errare humanum est "  il est bien connu que "perseverare diabolicum" . L'erreur n'étant pas volontaire et ne remettant pas en cause les préceptes que l'entité a établit, elle doit amener le dialogue, l'explication et l'éclaircissement éventuel de la cause ou de l'incompréhension pour éviter sa reproduction. C'est la répétition de l'erreur qui n'a pas admissible. L'ambiguïté des mots et les multiples perceptions du langage sont une des sources principales de l'erreur. Peux t on reprocher à la personne soumise de ne pas avoir compris ce qui lui était demandé ? Ou doit on reprocher à la personne dominante de mal l'avoir exprimer et de ne pas avoir vérifier l'acquisition de données par son interlocuteur avant qu'il n'agisse? 

La faute, ce manque à la règle et aux notionx de base établie, l'intolérable faute... ne supporterait elle aucune circonstance atténuante, elle non plus ? Les impossibilités, les humeurs et autres aléas seraient à nier ... pardonner oui mais la justification doit être sans faille. Car il est vrai qu'a ce rythme la, dans le pardon et la rédemption ...Que deviendrait la Discipline et D de BDSM ?... Comme toujours, ou souvent, la réponse est sans doute dans chaque manière de voir, vivre et développer son BDSM. Il y a des punisseurs et des magnanimes, des couples qui basent leur relation sur la logique "désobéissance / punition / pardon / progression", d'autres sur "l'explication / compréhension / progression" et d'autres sur leur propre modélisation. Il semble de bonne intelligence d'alterner ces modes d'éducation pour limiter et réduire les erreurs et éviter les fautes avec une seule perspective : la progression... 

Les joies de la carotte et bâton....Qui a dit ..."cela dépend la taille de la carotte"...?

 

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Par maitre-des-regles
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